Extraits du NUMÉRO 9
(Janvier / Février / Mars 2004)
 
La machine de Marly
(Extrait de l'article paru dans le numéro 9)

La ville de Versailles et quelques communes environnantes furent longtemps alimentées en eau potable par une version améliorée de la machine de Marly, « buvant l'eau de la Seine » dès la fin du XVIIe siècle et considérée comme l'une des merveilles de la mécanique.

Imposant système donnant une idée du grandiose que Louis XIV savait imprimer aux travaux s'effectuant sous son règne, le « monstre de Marly », composé de 14 roues, était l'œuvre de deux Liégeois invités en France par Mansart et alimentait dès 1684 les fontaines et bassins de la nouvelle propriété royale de Marly. La machine s'avérant insuffisante, on envisagea de la seconder en détournant l'eau de l'Eure, gigantesque projet hélas interrompu par la guerre de 1688. Malgré ses carences, la machine ne subira aucune amélioration durant 130 ans.

Louis XIV ayant décidé, en 1662, de faire bâtir dans la forêt de Marly un château royal dans une des situations les plus belles du monde, l'architecte Mansart traça des jardins magnifiques, qui réunissaient tout ce que l'imagination pouvait désirer. Exposition heureuse, vue ravissante, verdure et perspective variée...

 
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Vauban veut détourner l'Eure
(Extrait de l'article paru dans le numéro 9)

Le projet de Riquet de faire venir à Versailles une partie des eaux de la Loire n'étant pas viable et la machine de Marly ne pouvant répondre à l'énorme besoin en eau, l'élévation constante des terrains de Versailles à Maintenon et la rapidité du cours de l'Eure suggérèrent de mettre ce fleuve à contribution...

 
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La machine de Marly s'arrête
(Extrait de l'article paru dans le numéro 9)

La machine de Marly buvait encore l'eau de la Seine que déjà, le gouvernement décidait en 1803 de la remplacer. Ses jours étaient désormais comptés... Inaugurée en 1684, la machine de Marly passa longtemps pour un chef-d'œuvre de mécanique. Elle avait coûté 3 647 866 livres et montait l'eau de la Seine en trois étapes. Tout d'abord...

 
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