Extraits du NUMÉRO 26
(Avril / Mai / Juin 2008)
 
Procession du Lazare et grâce d'un criminel
(Extrait de l'article paru dans le numéro 26)

Capturé à Azincourt par les Anglais et en vertu d'un vœu qu'il fit à la Sainte-Larme pour obtenir du Ciel sa libération sans déshonneur, le comte de Vendôme conféra à la ville le privilège de gracier, chaque année, un criminel ayant commis le plus piteux cas et rémissible et devant porter un cierge pesant 33 livres, cérémonie éminemment populaire.

Fait prisonnier à la bataille d'Azincourt le 25 octobre 1415 après divers exploits qui le placèrent au rang des plus vaillants chevaliers de l'époque, Louis de Bourbon, comte de Vendôme, fut retenu étroitement dans la tour de Londres et mis à la rançon de cent mille écus. Dans l'impossibilité de se procurer cette somme, son trésor se trouvant vide et ses seigneuries étant ruinées par la guerre, il tourna alors toutes ses espérances vers le Ciel, faisant vœu à Dieu et à la Sainte-Larme de Vendôme...

 
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Qui profite de la grâce vendômoise ?
(Extrait de l'article paru dans le numéro 26)

Il y avait une grande divergence dans la criminalité des coupables à qui bénéficiait le privilège. La plupart du temps, les crimes reprochés aux pétitionnaires étaient peu graves, souvent des accidents de chasse ; nous voyons même que l'un des coupables avait obtenu de la victime, sans doute à beaux deniers comptants, une déclaration devant notaire...

 
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Destin de la sainte Larme de Vendôme
(Extrait de l'article paru dans le numéro 26)

Les bénédictins de Vendôme se vantaient d'avoir dans leur église une des larmes versée par Jésus sur la mort de Lazare et que selon la légende, un ange avait recueillie, mise incontinent dans le petit vase qui la contenait encore à présent, avant d'enfermer ce vase dans un autre plus grand, et de le donner à Madeleine qui l'apporta en France lorsqu'elle fut conduite au port de Marseille, avec son frère Lazare, sa sœur Marthe, saint Sidoine et saint Maximin. Avant de mourir, elle aurait remis la précieuse relique...

 
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