Extraits du NUMÉRO 26
(Avril / Mai / Juin 2008)
 
La ceinture, accessoire du quotidien et symbole
(Extrait de l'article paru dans le numéro 26)

Objet de première utilité dont ne sauraient se passer tant les hommes que les femmes afin d'y accrocher les accessoires nécessaires au quotidien, la ceinture d'étoffe ou de cuir est supplantée au XIVe siècle par le demi-ceint, porteur d'étranges reliques et suscitant l'engouement.

Jusqu'à la fin du XVe siècle, la ceinture resta une pièce importante du costume. Les femmes se contentent d'abord (XIIe siècle) de la nouer à la taille par devant, et en laissent retomber l'extrémité jusqu'au bas de la robe ; elle ne descend guère au delà de trente centimètres chez les hommes...

 
[POUR LIRE LA SUITE, COMMANDEZ LE N°26]

Bonne renommée vaut mieux que ceinture dorée
(Extrait de l'article paru dans le numéro 26)

L'usage des ceintures donna naissance au proverbe Bonne renommée vaut mieux que ceinture dorée. De tout temps, les femmes légères ont fort aimé la parure, et celles de Paris recherchaient surtout, paraît-il, les ceintures dorées, au grand scandale des honnêtes bourgeoises, qui portaient pendant la semaine une ceinture ornée d'étain, et arboraient le dimanche leur demi-ceint d'argent. Aussi, le 28 juin 1420, défense fut faite « à toutes femmes amoureuses...

 
[POUR LIRE LA SUITE, COMMANDEZ LE N°26]

 
 
Vous pouvez :
 
◆ Vous procurer ce NUMÉRO AU FORMAT NUMÉRIQUE
 
◆ Vous procurer la COLLECTION DES NUMÉROS
ENCORE DISPONIBLES AU FORMAT PAPIER
 
◆ Consulter la présentation et commander
L'OUVRAGE « IL ÉTAIT UNE FRANCE » rassemblant
l'intégralité des articles parus au sein du magazine,
augmentés d'une trentaine de chroniques (ouvrage
disponible au format PAPIER et au format NUMÉRIQUE)