Extraits du NUMÉRO 10
(Avril / Mai / Juin 2004)
(Extrait de l'article paru dans le numéro 10)
Élevé au rang d'offrande cultuelle par les peuples antiques, le sanglier s'affiche fréquemment sur les monnaies gauloises. Mais s'il force le respect, il n'en demeure pas moins une proie de choix dont les dents, réputées miraculeuses, déciment les meutes lancées à ses trousses.
On a dit que le cerf était le roi de nos forêts ; le sanglier a aussi ses lettres de noblesse, qui remontent aux temps mythologiques, témoin les sangliers d'Érymanthe ou celui de Calydon dont la hure fut offerte à Atalante par le jeune prince Méléagre...
(Extrait de l'article paru dans le numéro 10)
Pris jeune, le sanglier est susceptible d'éducation, s'attachant alors à son maître et recherchant ses caresses. On a vu des sangliers se livrer à certains exercices, prendre des attitudes variées, exécuter différents tours...