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Extraits du NUMÉRO 15
(Juillet / Août / Septembre 2005)
 
Le gant, caprice de mode
et accessoire symbolique
(Extrait de l'article paru dans le numéro 15)

Moyen ancestral de braver les rigueurs des travaux agricoles, la mitaine s'impose comme accessoire liturgique sous la forme du gant. Porté, donné, jeté ou relevé, il s'avère être hautement symbolique dès le XIIIe siècle, avant de devenir un élément incontournable de l'habillement au siècle suivant, pour atteindre le comble du raffinement à la Renaissance.

L'usage des gants fut beaucoup plus répandu en Perse et dans quelques pays du Nord que chez les Grecs et les Romains, chez qui cette partie du vêtement n'était guère portée que par les chasseurs et les laboureurs, qui s'en couvraient les mains pour garantir leur épiderme des épines. Se présentant d'abord comme des mitaines (la manica primitive était une espèce de sac sans divisions, sauf pour le pouce) constituées de peaux et de tissus grossiers...

 

En avoir ou ne pas en avoir les gants
(Extrait de l'article paru dans le numéro 15)

Avoir perdu ses gants se disait d'une demoiselle ayant eu quelque commerce de galanterie, parce qu'autrefois un des plus grands témoignages d'amour qu'une demoiselle pût accorder à un homme qu'elle croyait épouser, était de lui donner ses gants. Elisabeth, reine d'Angleterre, éprise de Robert d'Evreux...

 

Don singulier de gants au Parlement
(Extrait de l'article paru dans le numéro 15)

LLe don de bonnets et de gants fut institué au Parlement à l'occasion d'un épisode de la domination anglaise à Paris, connu sous le nom de fondation Morvilliers. Philippe de Morvilliers avait été nommé, par la faction des Bourguignons...

 

 
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Numéro 15
(Juillet / Août / Septembre 2005)

 
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