Extraits du NUMÉRO 18
(Avril / Mai / Juin 2006)
(Extrait de l'article paru dans le numéro 18)
Vestige des februales latines, la fête des Brandons met en scène un feu de joie, allumé par de jeunes mariés et dont on enflamme quelques tisons que l'on porte dans les champs pour s'assurer de bonnes récoltes.
Nos lointains ancêtres rendaient compte des phénomènes de la nature en supposant des génies qui créaient le bien et le mal dans l'air, les bois, les champs, les fontaines, et que les druides s'efforçaient d'éloigner en purifiant par le feu les lieux qu'ils habitaient. L'ajout de cérémonies chrétiennes à ces rites eut pour but d'y associer la religion...
(Extrait de l'article paru dans le numéro 18)
Dans l'est de la France, les jeunes gens étaient à l'honneur durant les Brandons. A Nancy, où les réjouissances se déroulaient dans la cour du palais ducal, les jeunes gens placés sur les balcons avaient coutume de jeter des pois d'épechis - pois grillés avec du beurre et du sel...