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Extraits du NUMÉRO 18
(Avril / Mai / Juin 2006)
 
Les Lionnes se repaissent de mondanités
(Extrait de l'article paru dans le numéro 18)

Vers 1840 apparaît la Lionne, élégante frénétique annonçant les Vésuviennes, affectant de dédaigner les grâces féminines auxquelles elle préfère les façons masculines et « l'excentricité tapageuse ». Rugissante, provocante, elle fait saillir griffes et poitrine pour se lancer dans l'arène parisienne en parodiant avec outrance les mœurs affectées d'outre-Manche.

La femme de 1830 avait été comme une sensitive sentimentale ; son imagination, exaltée par les romans de Walter Scott et les poèmes de lord Byron, ne rêvait que dévouement, sacrifices, douleurs, tendresses infinies. Elle s'exaltait le cœur et l'esprit dans les fictions les plus noires, et toute son esthétique consistait à paraître pâle...

 

La ménagerie des fashionables post-romantiques
(Extrait de l'article paru dans le numéro 18)

Lorsqu'en 1842 Soulié publiait Le Lion amoureux, il n'était question que de Lionnes, de Panthères, de Tigres et de Rats ; une Physiologie du Lion devenait nécessaire : elle parut sous la signature de Félix Deriège avec dessins de Gavarni et de Daumier. Dans une introduction en style biblique, l'auteur nous initie à la genèse du farouche roi...

 

Les Lions, rois de l'élégance
(Extrait de l'article paru dans le numéro 18)

Venu d'Angleterre, où il était le héros d'une aventure galante excentrique ou scandaleuse, dignité d'une semaine au plus, le Lion français de 1840, qui constituait, lui, la fine fleur du monde élégant, était un type fort connu depuis le XVIe siècle. Sous Charles IX et Henri III, on connut en effet les muguets ou raffinés, jeunes seigneurs efféminés...

 

 
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Numéro 18
(Avril / Mai / Juin 2006)

 
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