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Extraits du NUMÉRO 25
(Janvier / Février / Mars 2008)
 
1833 : les crieurs publics sur la sellette
(Extrait de l'article paru dans le numéro 25)

Agents actifs des feuilles démocratiques et moniteurs ambulants de l'insurrection contre la nouvelle monarchie, les crieurs publics se jouent de la Préfecture de Police de Paris, qui souhaite en 1833 faire du dépôt préalable une condition sine qua non à toute vente sur la voie publique.

L'usage de faire vendre sur la voie publique des écrits s'adressant aux masses prit une grande extension sous la Révolution. Dans les terribles épreuves que le pays eut à traverser, les diverses factions qui se partageaient le pouvoir, et que servaient des partisans fanatiques, s'adressaient à l'imprimerie pour faire triompher leurs idées...

 

Le directeur du Bon Sens soutient les crieurs
(Extrait de l'article paru dans le numéro 25)

Homme d'une impétuosité sans égale et n'ayant jamais su l'art des ménagements, Rodde ne connaissait pas la peur. Son style était brutal, quoique ennobli souvent par la passion ; sa sensibilité, violente et sauvage, éclatait tour à tour en élans de tendresse, de générosité, et en invincibles transports de colère. Ennemi de toutes les idées trop hardies et de tous les partis extrêmes, il s'était toujours tenu un peu à l'écart des républicains, bien qu'il combattît leurs adversaires...

 

 
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Numéro 25
(Janvier / Février / Mars 2008)

 
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