(Janvier / Février / Mars 2008)
Au Moyen Age, la chanson politique ou satirique se transportait en tout lieu par l'intermédiaire des ménestrels ; mais la satire qui s'adresse aux yeux, et que traduisait seulement une sculpture ou une enluminure isolée, perdait son à-propos à peine achevée, même dans la petite sphère de son influence, et restait alors pour les siècles à venir une figure étrange dont la signification échappait à tous...
On trouve dans les Capitulaires des rois carolingiens de nombreuses traces de l'intérêt qu'inspiraient à cette époque les causes des indigents, veuves, pupilles et orphelins. Ainsi en 805, on recommande aux juges des divers degrés d'apporter à leurs causes toute leur attention, et ordonne de prendre des mesures pour donner des avocats aux pauvres...
Lorsque vers 1772 Lavoisier éclaira physiciens et chimistes qui n'avaient qu'une notion illusoire de la constitution de la matière, deux hypothèses étaient alors acceptées : l'antique doctrine des quatre éléments, air, eau, feu, terre, et la théorie plus récente du phlogistique, d'après laquelle les corps combustibles étaient composés d'une substance terreuse et d'un principe invisible, insaisissable et pesant, le phlogistique ou principe du feu...
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