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Extraits du NUMÉRO 27
(Juillet / Août / Septembre 2008)
 
Censure au théâtre ou les acteurs et comédiens traqués
(Extrait de l'article paru dans le numéro 27)

Jusqu'en 1706 et l'implication du lieutenant de police, la surveillance des pièces de théâtres était empreinte d'une anarchie administrative plaçant les comédiens sous la menace continuelle de sévérités capricieuses allant d'une amende au bannissement du royaume, en passant par la peine corporelle, le roi s'opposant parfois à un parlement autoritaire.

On peut faire dater la censure au théâtre au XVe siècle, lorsque la licence dramatique des clercs de la Basoche nécessita l'intervention de l'autorité, le parlement réprimant en 1442 par ses ordonnances les excès des moralités et surtout des farces et soties de cette corporation...

 

Les différents visages de la censure
(Extrait de l'article paru dans le numéro 27)

Tandis que l'édit sur les duels venait d'être rendu et que Richelieu poursuivait ceux qui, bravant sa défense, mettaient l'épée à la main, parut une tragédie de Corneille où le duel se trouvait légitimé : au nom de son passé, des services rendus, du rang même qu'il occupait au sein de l'Etat, un gentilhomme refusait de consentir à présenter des excuses à l'envoyé du roi. Richelieu pouvait-il voir, d'un esprit tranquille, la noblesse...

 

Théâtre sous le joug du lieutenant de police
(Extrait de l'article paru dans le numéro 27)

Saint-Simon rapporte qu'en 1697, « le roi chassa fort précipitamment toute la troupe des comédiens italiens et n'en voulut plus d'autres. Tant qu'ils n'avaient fait que déborder en ordures sur le théâtre, et quelquefois en impiétés, on n'avait fait qu'en rire ; mais ils s'avisèrent de jouer une pièce qui s'appelait la Fausse Prude, où madame de Maintenon...

 

 
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Numéro 27
(Juillet / Août / Septembre 2008)

 
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