Extraits du NUMÉRO 34
(Avril / Mai / Juin 2010)
 
Festins et oie succulente de la Saint-Martin
(Extrait de l'article paru dans le numéro 34)

Loin des légendes nous présentant notamment un saint évêque qui, trahi ou incommodé par une oie, se serait vengé des injures que l'animal lui fit, la coutume de manger l'oie de la Saint-Martin le 11 novembre tiendrait de la réjouissance après un jeûne et du goût de nos ancêtres pour ce mets.

Ne paraissant sur la table des anciens Grecs qu'aux jours des grands repas, l'oie était vénérée comme symbole de la vigilance à Rome libre, et figurait rarement dans un festin ; mais, dès que la ville des Césars eut subi le joug de ses empereurs, on y connut la méthode qui consistait à priver cet oiseau d'eau, de mouvement et de lumière...

 
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Appréciée de l'Antiquité, l'oie reste onéreuse
(Extrait de l'article paru dans le numéro 34)

Les nombreux usages de l'oie, un des oiseaux domestiques les plus communs dans les Gaules mais également le plus gros que l'on connut dans le Moyen Age, la faisaient rechercher dans tous les pays : ses plumes étaient employées dans les arts ; sa graisse même était préférée au beurre pour plusieurs préparations culinaires, et sa chair se salait et se conservait...

 
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