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Extraits du NUMÉRO 35
(Juillet / Août / Septembre 2010)
 
La pêche française s'éprend du hareng
(Extrait de l'article paru dans le numéro 35)

Déjà mentionnée au XIe siècle, la pêche du hareng en France prend rapidement le caractère d'une industrie considérable, eu égard au prix modique d'un aliment particulièrement indiqué en période d'abstinence et de jours maigres, ainsi qu'aux droits perçus par les abbés et seigneurs puis par l'Etat sur ce poisson en dépit des révoltes qui parfois grondent.

Aucun des écrivains de la Grèce ou de Rome n'a parlé du hareng. Vivant sur les bords de la Méditerranée et n'observant guère que les productions de cette mer, ils n'ont pu connaître cet hôte de l'Océan septentrional, et il faut arriver au Moyen Age pour trouver des renseignements historiques sur ces poissons que l'industrie moderne...

 

Quand le hareng s'invite sur les théâtres de guerre
(Extrait de l'article paru dans le numéro 35)

Les guerres du XIVe siècle entre la France et l'Angleterre nuirent à la pêche du hareng. Les Anglais s'étant rendus maîtres de Calais, profitèrent de cet avantage pour prescrire des limites à la pêche française, et le malheur du temps imposa la dure obligation de les respecter. Si les Dieppois, abandonnés à leurs propres forces, s'opposèrent seuls aux agressions de l'ennemi en armant...

 

Renouveau des pêcheries picardes grâce au hareng
(Extrait de l'article paru dans le numéro 35)

L'invasion franque ayant détruit les pêcheries, les riverains de la mer ne purent se livrer à aucune opération sérieuse de pêche pendant près de deux siècles ; mais bientôt, l'observation rigoureuse du carême...

 

 
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Numéro 35
(Juillet / Août / Septembre 2010)

 
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