Extraits du NUMÉRO 36
(Octobre / Novembre / Décembre 2010)
(Extrait de l'article paru dans le numéro 36)
Au XIXe siècle, un naturaliste redécouvre les formidables vertus de l'ortie, plante qui bien que ne nécessitant ni engrais ni terrain particulier, s'avère être une précieuse substance alimentaire, médicinale ou encore textile.
Quelle plante plus odieuse que l'ortie, que son abondance même et des préjugés divers font unanimement rejeter par les agriculteurs ? L'action vive et irritante que l'ortie exerce sur la peau est due à la fois à la propriété du liquide corrosif...
(Extrait de l'article paru dans le numéro 36)
Dès le Ier siècle de notre ère, Pline affirme que l'ortie, par son amertume mordicante, rétablit la situation des parties et guérit les relâchements de la luette, les chutes de la matrice, et celles de l'anus chez les enfants. Elle réveille les léthargiques si l'on en frotte les jambes...