(Janvier / Février / Mars 2011)
Des rails de bois supportant de modestes chariots mus par la gent animale, aux routes de métal chevauchées par de puissantes locomotives à vapeur, l'histoire du chemin de fer retient le nom de Stephenson, génie de la mécanique qui sut mettre à profit la chaudière tubulaire du Français Séguin afin de conférer à l'Angleterre une considérable avance industrielle.
Les voies artificielles consistant en bandes de bois parallèles disposées sur toute l'étendue de la distance à franchir, furent employées pour la première fois dans les houillères de Newcastle, en Angleterre, avant le milieu du XVIIe siècle, et accueillaient de grands chariots portés par quatre roues qui assuraient le transport...
Lorsqu'en 1797 Olivier Evans, qui quinze ans plus tôt avait doté les Etats-Unis de moulins à farine à vapeur, demanda à l'Etat de Pennsylvanie un privilège pour une voiture à vapeur, l'idée parut si peu digne de confiance que le privilège lui fut accordé...
Stephenson eut à lutter dans les premiers temps de la création des chemins de fer, contre l'ignorance et la routine. On prétendait que les chaudières éclateraient et tueraient les voyageurs ; que la fumée des locomotives détruirait la végétation ; que leur bruit éloignerait...
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