Extraits du NUMÉRO 5
(Janvier / Février / Mars 2003)
 
Les veillées de Noël
(Extrait de l'article paru dans le numéro 5)

Où l'on apprend qu'avant d'être fixée au 25 décembre, la fête de Noël était mobile car sujette aux changements de calendrier qui marquèrent la vie de nos ancêtres. Chaque province de France célébrait à sa façon la Nativité, du partage des nieulles au rituel du tréfoir, bûche sur laquelle on versait processionnellement du vin avant de la faire brûler.

L'enquête faite sous le pape Jules Ier au quatrième siècle, avait fixé le jour de la Nativité au 25 décembre, époque où les Anciens célébraient le solstice d'hiver et la renaissance de la lumière qui se met, à ce moment, à refouler graduellement les ténèbres. Noël n'en fut pas moins d'abord une fête mobile, solennisée tantôt en janvier, tantôt au mois de mars ou d'avril...

 
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Les badineries interdites dans les églises à Noël
(Extrait de l'article paru dans le numéro 5)

Dans certaines provinces françaises, la cérémonie religieuse de Noël s'accompagnait parfois de danses au cœur même des églises. Des « excès » que l'Église fut amenée à réprouver... Le concile provincial de Narbonne de l'an 1551, après avoir défendu les danses et autres badineries qui se faisaient autrefois dans les églises, ajoute que, pour y obvier, les curés s'abstiendront de faire venir leurs paroissiens à certains repas appelés defructus. Mais qu'était ce repas dénommé defructus ?...

 
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